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Lieu

Paul B
6 Allée de Québec, Massy

Lieu

Paul B
6 Allée de Québec, Massy
07.10.22
Expiré!
20h30

Lieu

Paul B
6 Allée de Québec, Massy
Huit ans après son dernier album, l’excursion cosmique de Bambi Galaxy datant de 2014, Florent Marchet nous est enfin revenu.

Non pas qu’on ait perdu sa trace, lui qui a entretemps offert ses talents d’écriture et de composition aux autres, qu’ils soient chanteurs (Bénabar), chanteuses (Sylvie Vartan ou Clarika), hommes et femmes de cinéma ou de théâtre (Eric Caravaca, Patrick Mille ou Laurence Cote). Il en avait même profité pour signer son premier roman, Le monde du vivant, salué par la critique. 

Il a donc fallu un confinement (était-on obligé d’en arriver là ?) pour que ce personnage atypique de la chanson pop française se remette à écrire pour lui, et donc pour nous, par extension. Il signe avec Garden Party un album à nouveau touché par cette grâce d’une écriture ô combien singulière, capable de planter des décors, de créer des personnages en quelques mots, en quelques traits …

Les treize miniatures de cet album croquent des ambiances provinciales, l’enfance en souvenirs doux-amers, le temps qui passe, les enfants qui grandissent trop vite mais aussi les fêlures d’existences abîmées, ou les angoisses et la dépression. Le piano et la voix, qui a gagné en profondeur, sont les moteurs de cet album, ils tissent des écrins autour de ces mots, leur donnent chair … une chair joliment relevée ici ou là par une nappe de synthé, quelques percussions ou une guitare empathique.

En première partie, Julia Pertuy, jeune musicienne (claviers et violoncelle) et autrice qui convoque aussi bien la magnificence de la pop que le lyrisme d’une certaine chanson française.

07.10.22
Expiré!
20h30
Huit ans après son dernier album, l’excursion cosmique de Bambi Galaxy datant de 2014, Florent Marchet nous est enfin revenu.

Non pas qu’on ait perdu sa trace, lui qui a entretemps offert ses talents d’écriture et de composition aux autres, qu’ils soient chanteurs (Bénabar), chanteuses (Sylvie Vartan ou Clarika), hommes et femmes de cinéma ou de théâtre (Eric Caravaca, Patrick Mille ou Laurence Cote). Il en avait même profité pour signer son premier roman, Le monde du vivant, salué par la critique. 

Il a donc fallu un confinement (était-on obligé d’en arriver là ?) pour que ce personnage atypique de la chanson pop française se remette à écrire pour lui, et donc pour nous, par extension. Il signe avec Garden Party un album à nouveau touché par cette grâce d’une écriture ô combien singulière, capable de planter des décors, de créer des personnages en quelques mots, en quelques traits …

Les treize miniatures de cet album croquent des ambiances provinciales, l’enfance en souvenirs doux-amers, le temps qui passe, les enfants qui grandissent trop vite mais aussi les fêlures d’existences abîmées, ou les angoisses et la dépression. Le piano et la voix, qui a gagné en profondeur, sont les moteurs de cet album, ils tissent des écrins autour de ces mots, leur donnent chair … une chair joliment relevée ici ou là par une nappe de synthé, quelques percussions ou une guitare empathique.

En première partie, Julia Pertuy, jeune musicienne (claviers et violoncelle) et autrice qui convoque aussi bien la magnificence de la pop que le lyrisme d’une certaine chanson française.