Skip to content

Lieu

Paul B
6 Allée de Québec, Massy

Lieu

Paul B
6 Allée de Québec, Massy
14.01.23
Expiré!
20h30

Lieu

Paul B
6 Allée de Québec, Massy
Bengale, Sumatra, Sibérie on s’y connait pourtant en tigres mais celui-là, « d’eau douce », on doit bien avouer qu’on ne le connaissait pas, on n’avait jamais eu la chance d’avoir sa vignette dans notre collection « Animaux du monde » …

Et s’il n’était le talent de dompteur de Laurent Bardainne, il y a fort à parier qu’on serait restés ignorants de son existence …  Ce dernier a dû déployer des trésors mélodiques dignes d’un charmeur de serpents pour l’amadouer avec son saxophone ténor (déjà largement repéré dans le jazz mais aussi sur des sentiers parallèles et aventureux comme Poni Hoax ou Limousine notamment). Quand il y est enfin arrivé, l’existence de cet animal qu’on pensait mythique est devenue tout sauf imaginaire : les grooves organiques et le souffle de l’orgue Hammond plongent dans les profondeurs du jazz, pour en ressortir couverts de soul, dans une odyssée tropicale à l’esthétique seventies sophistiquée, où les crocs de la bête ne reflétent plus que la lumière du saxophone et où les touches de synthétiseurs finissant même par nous faire entrevoir le futur. Ça met les crocs non ?

Daïda, la formation emmenée par Vincent Tortiller, distille un jazz électrique et progressif tel qu’il s’invente et se joue aujourd’hui : un nouveau jazz français, moderne et vivant qui emprunte aux musiques actuelles leur énergie et leur efficacité.

14.01.23
Expiré!
20h30
Bengale, Sumatra, Sibérie on s’y connait pourtant en tigres mais celui-là, « d’eau douce », on doit bien avouer qu’on ne le connaissait pas, on n’avait jamais eu la chance d’avoir sa vignette dans notre collection « Animaux du monde » …

Et s’il n’était le talent de dompteur de Laurent Bardainne, il y a fort à parier qu’on serait restés ignorants de son existence …  Ce dernier a dû déployer des trésors mélodiques dignes d’un charmeur de serpents pour l’amadouer avec son saxophone ténor (déjà largement repéré dans le jazz mais aussi sur des sentiers parallèles et aventureux comme Poni Hoax ou Limousine notamment). Quand il y est enfin arrivé, l’existence de cet animal qu’on pensait mythique est devenue tout sauf imaginaire : les grooves organiques et le souffle de l’orgue Hammond plongent dans les profondeurs du jazz, pour en ressortir couverts de soul, dans une odyssée tropicale à l’esthétique seventies sophistiquée, où les crocs de la bête ne reflétent plus que la lumière du saxophone et où les touches de synthétiseurs finissant même par nous faire entrevoir le futur. Ça met les crocs non ?

Daïda, la formation emmenée par Vincent Tortiller, distille un jazz électrique et progressif tel qu’il s’invente et se joue aujourd’hui : un nouveau jazz français, moderne et vivant qui emprunte aux musiques actuelles leur énergie et leur efficacité.