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Lieu

Opéra de Massy
1 Place de France, Massy

Lieu

Opéra de Massy
1 Place de France, Massy
05.02.23
Expiré!
16h00

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Opéra de Massy
1 Place de France, Massy
Deux chefs-d’œuvre, entre classicisme et romantisme.

Le 4e Concerto pour piano, esquissé lors de la composition de la Symphonie « Héroïque », porte une dédicace à l’archiduc d’Autriche, qui était depuis quelque temps l’élève de Beethoven. Il s’agit sans nul doute de l’un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature du piano. D’une grande modernité dans son genre, ce concerto paraît offrir à l’instrument soliste une aisance souveraine et une virtuosité libératrice, entrecoupées d’éloquents silences parfaitement amenés par l’écriture d’un Beethoven de trente-deux ans.
Guillaume Bellom, jeune pianiste français au parcours atypique, aborde à merveille le répertoire Beethovénien, mettant en valeur toutes les richesses de ses pages.

Composée immédiatement après l’achèvement de la Première, la Deuxième symphonie de Johannes Brahms, en ré majeur, connût un succès considérable dès sa création. A la vaste exposition du premier mouvement, va succéder un Adagio somptueux. Ce mouvement, qui constitue la partie la plus riche de la symphonie, exacerbe le romantisme propre au compositeur, notamment par les lignes particulièrement lyriques exposées aux violoncelles. Puis prendra place un Allegretto grazioso, aux airs de danse populaire légère et enjouée. L’Allegro final sera quant à lui comparé avec le finale de la Symphonie Jupiter de Mozart, « le sang mozartien » étant même évoqué par Hanslick.

05.02.23
Expiré!
16h00
Deux chefs-d’œuvre, entre classicisme et romantisme.

Le 4e Concerto pour piano, esquissé lors de la composition de la Symphonie « Héroïque », porte une dédicace à l’archiduc d’Autriche, qui était depuis quelque temps l’élève de Beethoven. Il s’agit sans nul doute de l’un des plus grands chefs-d’œuvre de la littérature du piano. D’une grande modernité dans son genre, ce concerto paraît offrir à l’instrument soliste une aisance souveraine et une virtuosité libératrice, entrecoupées d’éloquents silences parfaitement amenés par l’écriture d’un Beethoven de trente-deux ans.
Guillaume Bellom, jeune pianiste français au parcours atypique, aborde à merveille le répertoire Beethovénien, mettant en valeur toutes les richesses de ses pages.

Composée immédiatement après l’achèvement de la Première, la Deuxième symphonie de Johannes Brahms, en ré majeur, connût un succès considérable dès sa création. A la vaste exposition du premier mouvement, va succéder un Adagio somptueux. Ce mouvement, qui constitue la partie la plus riche de la symphonie, exacerbe le romantisme propre au compositeur, notamment par les lignes particulièrement lyriques exposées aux violoncelles. Puis prendra place un Allegretto grazioso, aux airs de danse populaire légère et enjouée. L’Allegro final sera quant à lui comparé avec le finale de la Symphonie Jupiter de Mozart, « le sang mozartien » étant même évoqué par Hanslick.